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ORIKI PROJET

Il y a des visions qui ne s’effacent pas.


Un jour, au détour d’un exercice de coaching, j’ai fermé les yeux… et j’ai vu.


Sur la rive d’un lac, des visages venus d’ailleurs — de Polynésie, peut-être, ou d’un souvenir ancien — avançaient vers moi en chantant. Ils portaient le blanc des rituels, le parfum des fleurs, la mémoire des tambours. De l’autre côté de la rive, je les voyais approcher, portés par la joie d’une rencontre qui semblait attendue depuis toujours : les femmes versaient des fleurs dans l'eau, les hommes, dans une autre barque, jouent des tambours.  Quand ils ont accosté, le paysage s’est ouvert sur une forêt, une cascade, une prairie, et au centre — un arbre colossal. Majestueux, bienveillant, vivant.


J’ai compris que cet arbre, c’était moi : racines, sève, souffle. Je n’avais plus de corps, mais j’étais tout à la fois : la terre, l’eau, le vent, le rire des feuilles.


Alors les visiteurs se sont rassemblés autour de moi-arbre, ils ont chanté, dansé, mangé, offert leurs présents…et soudain, mes feuilles se sont mises à tomber.
Mais ce n’étaient pas des feuilles simples : c’étaient des livres, des parchemins, des récits du monde, des histoires de peuples, d’âmes et de savoirs anciens. Chaque fragment contenait une vérité, un écho, une mémoire.

Ce jour-là, j’ai compris que ma mission serait cela : un arbre de transmission, une passerelle entre les mondes, un lieu où les vivants et les ancêtres, les dieux et les enfants (grands et petits) se rejoignent pour apprendre à rêver ensemble.

arbre de la connaissance_edited.jpg

 "L’Arbre de la Connaissance"-  Série Introspection

Oeuvre fondatrice du projet Oriki

Une porte interactive

 

"Fables Yorubas illustrées pour enfants pas trop sages". Sur cette toile, la déesse et la fillette — deux reflets de moi-même, moi et ma petit fille— invitent à explorer les racines du savoir.
Les grimoires écrits contiennent les récits déjà transmis ; ceux sans mots représentent les histoires encore à écrire.
Les cauris, les tambours et les jicaras murmurent la mémoire Yoruba, tandis qu’Eleggua, gardien des chemins, veille sur chaque interaction, ouvrant la route vers Yemaya, Iya Emi, Habanera Walking, et les voix qui peuplent mes autres création (poèmes et écritures familiales).

C’est une œuvre à regarder, à écouter, à toucher.
Une peinture vivante, née d’une vision et d’un souffle et de l'amour. 
Un espace où le sacré et le numérique se rencontrent pour célébrer la connaissance comme acte d’amour.

💫 “Je peins pour relier.
Je peins pour me souvenir.
Je peins pour danser avec mes racines pour transmettre la sagesse ancestrale avec amour, clarté et poésie”

— Liz Barthel

 

“Rappeler l’âme à elle-même”

Le mot Oríkì, avec toute sa puissance, n’est pas simplement un titre — c’est une invocation, une mémoire vivante, une louange identitaire. Chez les Yorubas, l’Oríkì est un chant, une parole qui relie l’individu à ses ancêtres, à sa lignée, à son essence.

Les Patakines  (fables) sont des trésors — des récits qui portent les valeurs, les mystères et les vérités de la tradition yoruba. 

Je les rends accessibles, vivants, lumineux​. Moi je transformes en un livre pour les enfants, pour ma petite fille, pour les générations à venir.

 

C’est une œuvre de transmission, de guérison, de lumière.

👉+  DECOUVRIR LES HISTOIRES ET LES JEUX

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